Elle se promenait tranquillement, sans rien demander à personne, quand soudain, elle fut poussée avec brutalité et tomba.
Le choc l'étourdit. Quand elle reprit ses esprits, elle se rendit compte qu'elle avait changé de lieu. Elle se trouvait dans un endroit privé de lumière. Paniquée, elle palpa autour d'elle. Le plafond était extrêmement bas. Les murs et le sol étaient lisses. Il n'y avait aucune issue et il flottait dans l'air une forte odeur de cèdre. Seule une mince ligne à quelques centimètres du plafond laissait filtrer un peu d'air. Avec fièvre, elle explora à nouveau sa prison, mais il n'y avait aucune issue, aucun moyen de s'échapper. Désespérée, elle s'immobilisa près de la rainure où elle pouvait sentir l'air. Elle n'avait pas d'autre choix que d'attendre que celui qui l'avait enfermée daigne la libérer.
Le choc l'étourdit. Quand elle reprit ses esprits, elle se rendit compte qu'elle avait changé de lieu. Elle se trouvait dans un endroit privé de lumière. Paniquée, elle palpa autour d'elle. Le plafond était extrêmement bas. Les murs et le sol étaient lisses. Il n'y avait aucune issue et il flottait dans l'air une forte odeur de cèdre. Seule une mince ligne à quelques centimètres du plafond laissait filtrer un peu d'air. Avec fièvre, elle explora à nouveau sa prison, mais il n'y avait aucune issue, aucun moyen de s'échapper. Désespérée, elle s'immobilisa près de la rainure où elle pouvait sentir l'air. Elle n'avait pas d'autre choix que d'attendre que celui qui l'avait enfermée daigne la libérer.
Avec lenteur, le temps s'écoula et, petit à petit la faim la gagna, mais nul ne vint. Elle commençait à se demander si cette boîte où elle était enfermée n'allait pas devenir son cercueil quand brusquement, la lumière envahit la prison. Le plafond avait disparu.
Avec l'énergie du désespoir, elle se précipita à toute allure hors des murs. Elle ne savait pas où elle allait, mais elle s'en moquait. ce qui comptait c'est qu'elle pouvait à nouveau respirer et se mouvoir à son aise. Jamais l'herbe ne lui avait paru aussi accueillante.
Avec l'énergie du désespoir, elle se précipita à toute allure hors des murs. Elle ne savait pas où elle allait, mais elle s'en moquait. ce qui comptait c'est qu'elle pouvait à nouveau respirer et se mouvoir à son aise. Jamais l'herbe ne lui avait paru aussi accueillante.
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