Le roman sera mis en vente la semaine prochaine sur The Book Edition, découvrez en attendant le début des aventures de Marc et Animia, Une correspondante extraterrestre.
Episode 1 du Chapitre 1 : Une étrange correspondance
Il était tard ce soir là, en l'an 1996, pourtant demain, j’irai au lycée de Bance-bris. Ce serait mon premier jour là-bas et comme Bance-bris est loin de chez moi, je resterai en pension au lycée. J’ouvris la fenêtre de ma chambre et regardai dehors. La nuit était magnifique, une nuit magique pensais-je. Je voyais la montagne en face, éclairée juste un peu par la lampe du hameau que l’on avait oublié d’éteindre. Sur le ciel noir, parsemé d’étoiles, j’apercevais parfois de petites lumières vertes, rouges ou jaunes. Ayant beaucoup d’imagination, je rêvais que c’était des soucoupes volantes. Ah, comme je n’avais pas envie d’aller m’enfermer dans ce lycée, j’appréciais tant ma liberté, j’aimais tant la caresse du vent, l’odeur du foin... Non ! Je ne voulais vraiment pas aller dans ce lycée. Je me retournai et regardai l’heure : bon sang, il était déjà vingt trois heures dix-sept ! Mieux valait que j’aille me coucher.
Je refermai à regret la fenêtre, tirai les rideaux et puis, me dirigeai à tâtons dans ma chambre privée de toute lumière. Je reçus un coup au niveau des genoux. Je pestais intérieurement : quelle malchance ! Au moins, je savais maintenant que j’étais arrivé à mon lit ! D’un bond, je fus sur le matelas et m’installai pour la nuit. Le sommeil vint assez rapidement, mais, mes dernières pensées furent pour mon lycée.
DRING, DRING !! Avec peine, je m’arrachai aux bras de Morphée. Puis complètement réveillé, je me souvins de l’étrange rêve que j’avais fait : un robot vert et blanc venait à ma rencontre et me disait d’une voix bizarre « Nous vous proposons de devenir le correspondant d’une habitante de la planète Zywak, acceptez-vous ? » et dans mon rêve j'acquiesçai, puis le robot me montrait une enveloppe sur mon bureau... il allait encore dire quelque chose quand le réveil avait sonné, je me sentais frustré, car j’aurais bien aimé savoir…
– Marc ! Marc ! appela ma mère.
– J’arrive Mam.
Je sautai hors du lit et enfilais précipitamment mes vêtements.
Soudain, mon regard fut attiré par mon bureau, une enveloppe verte et blanche, tout comme le robot du rêve, s'y trouvait. Plein de curiosité, j’ouvris l’enveloppe : que pouvait-elle donc contenir ?
Et si mon rêve n’en était pas un, et si c’était un message télépathique que l’on m’avait envoyé…
Mes mains tremblaient alors que je dépliais le papier et lisais :
Mon père est capitaine dans la garde Sembré, son rôle consiste à surveiller les arrivées et départs des marchandises. Ma mère contrôle les cargaisons pour éviter la contrebande de produits de luxe, c’est une garde Vrif.
Pour votre réponse, posez votre lettre sur votre fenêtre à laquelle vous joindrez ce disque, si vous changez d’endroit.
Je refermais l’enveloppe quand j’entendis :
– Marc, descends vite, tu vas te mettre en retard ! Allez dépêche-toi !
Je dévalai l’escalier tout en pensant à l’étrange lettre : cela devait être une plaisanterie de mes parents… mais alors comment expliquer mon rêve ?
Il était tard ce soir là, en l'an 1996, pourtant demain, j’irai au lycée de Bance-bris. Ce serait mon premier jour là-bas et comme Bance-bris est loin de chez moi, je resterai en pension au lycée. J’ouvris la fenêtre de ma chambre et regardai dehors. La nuit était magnifique, une nuit magique pensais-je. Je voyais la montagne en face, éclairée juste un peu par la lampe du hameau que l’on avait oublié d’éteindre. Sur le ciel noir, parsemé d’étoiles, j’apercevais parfois de petites lumières vertes, rouges ou jaunes. Ayant beaucoup d’imagination, je rêvais que c’était des soucoupes volantes. Ah, comme je n’avais pas envie d’aller m’enfermer dans ce lycée, j’appréciais tant ma liberté, j’aimais tant la caresse du vent, l’odeur du foin... Non ! Je ne voulais vraiment pas aller dans ce lycée. Je me retournai et regardai l’heure : bon sang, il était déjà vingt trois heures dix-sept ! Mieux valait que j’aille me coucher.
Je refermai à regret la fenêtre, tirai les rideaux et puis, me dirigeai à tâtons dans ma chambre privée de toute lumière. Je reçus un coup au niveau des genoux. Je pestais intérieurement : quelle malchance ! Au moins, je savais maintenant que j’étais arrivé à mon lit ! D’un bond, je fus sur le matelas et m’installai pour la nuit. Le sommeil vint assez rapidement, mais, mes dernières pensées furent pour mon lycée.
DRING, DRING !! Avec peine, je m’arrachai aux bras de Morphée. Puis complètement réveillé, je me souvins de l’étrange rêve que j’avais fait : un robot vert et blanc venait à ma rencontre et me disait d’une voix bizarre « Nous vous proposons de devenir le correspondant d’une habitante de la planète Zywak, acceptez-vous ? » et dans mon rêve j'acquiesçai, puis le robot me montrait une enveloppe sur mon bureau... il allait encore dire quelque chose quand le réveil avait sonné, je me sentais frustré, car j’aurais bien aimé savoir…
– Marc ! Marc ! appela ma mère.
– J’arrive Mam.
Je sautai hors du lit et enfilais précipitamment mes vêtements.
Soudain, mon regard fut attiré par mon bureau, une enveloppe verte et blanche, tout comme le robot du rêve, s'y trouvait. Plein de curiosité, j’ouvris l’enveloppe : que pouvait-elle donc contenir ?
Et si mon rêve n’en était pas un, et si c’était un message télépathique que l’on m’avait envoyé…
Mes mains tremblaient alors que je dépliais le papier et lisais :
Cher Ami,
Je ne connais même pas votre nom, et j'en suis désolée. J’espère que vous ne révélerez pas notre correspondance, car je dois vous prévenir que c’est risqué. Si vous refusez, vous oublierez tout automatiquement. Mon prénom est Animia, je suis née au mois que vous, Terriens, appelez avril, le 3 avril vers 6h du matin ( je pense que c’est correctement retranscrit, mais j’ai appris les langues terriennes à l’aide des livres ordinateurs, donc j’ai un doute. ) J’ai 15 ans et je suis enfant unique.Mon père est capitaine dans la garde Sembré, son rôle consiste à surveiller les arrivées et départs des marchandises. Ma mère contrôle les cargaisons pour éviter la contrebande de produits de luxe, c’est une garde Vrif.
Pour votre réponse, posez votre lettre sur votre fenêtre à laquelle vous joindrez ce disque, si vous changez d’endroit.
Je souhaite de tout mon cœur que vous me répondiez.
Amicalement Animia de la planète Zywak
Amicalement Animia de la planète Zywak
Je refermais l’enveloppe quand j’entendis :
– Marc, descends vite, tu vas te mettre en retard ! Allez dépêche-toi !
Je dévalai l’escalier tout en pensant à l’étrange lettre : cela devait être une plaisanterie de mes parents… mais alors comment expliquer mon rêve ?
5 commentaires:
appelé avril, OU appelez?
de luxes, NOn le LUXE sans s
sa-vais ? sa - sa- vais ?
C'est corrigé, merci ! :)
bien sympathique le petit robot...
heureusement que Marc a dit oui!
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