En retour j’écrivis une lettre brève, car je ne m’étais pas réveillé assez tôt. Désormais, je mettrai mon réveil plus tôt, toutefois dans mon message, j’essayais de la tranquilliser :
Chère Animia,
Ne t’inquiète donc pas, il n’y a pas de raison que ces Hantomiens entrent chez toi et puis tes parents vont bientôt revenir. J’espère en tout cas qu’il ne t’arrivera rien et que ces Hantomiens seront rattrapés et de nouveau emprisonnés. Je suis désolé de ne pouvoir (une fois de plus) t’écrire une longue lettre, mais l’heure tourne et je ne veux pas arriver en retard.
Ton ami qui pense à toi et te souhaite du courage.
Pendant la journée, je découvris d’autres professeurs : en français Mimlur, en allemand Selbuido, en latin Galbinois et en biologie Ghuissourbi. Tout était gris et cela me minait le moral. On me reprocha mon inattention, évidemment, je pensais à Animia, n’allait-il pas lui arriver quelque chose ?
Le soir avant d’aller dormir, j’allai vers la fenêtre et je l’ouvris : dehors, la lune en forme de D, entourée d’un halo jaune tirant sur le vert à cause du ciel bleu nuit était là, resplendissante sur la voûte formée par les étoiles. La nuit me faisait penser à un rideau, taché de points de lumières, je respirai profondément et retrouvai un peu l’odeur de chez moi, la nuit à toujours une odeur de nuit. Encore faut-il croire que la nuit a un parfum. En regardant attentivement le ciel, j’eus soudain l’impression étrange qu’on me lançait un appel au secours, ce fut bref et je crus à un tour de mon imagination. Je refermai la fenêtre et m’allongeai.
Comment était-ce là haut ? Et c’est sur cette interrogation que je m’endormis, pour rêver des étoiles et des planètes qui peuplaient le ciel.
Chère Animia,
Ne t’inquiète donc pas, il n’y a pas de raison que ces Hantomiens entrent chez toi et puis tes parents vont bientôt revenir. J’espère en tout cas qu’il ne t’arrivera rien et que ces Hantomiens seront rattrapés et de nouveau emprisonnés. Je suis désolé de ne pouvoir (une fois de plus) t’écrire une longue lettre, mais l’heure tourne et je ne veux pas arriver en retard.
Ton ami qui pense à toi et te souhaite du courage.
Pendant la journée, je découvris d’autres professeurs : en français Mimlur, en allemand Selbuido, en latin Galbinois et en biologie Ghuissourbi. Tout était gris et cela me minait le moral. On me reprocha mon inattention, évidemment, je pensais à Animia, n’allait-il pas lui arriver quelque chose ?
Le soir avant d’aller dormir, j’allai vers la fenêtre et je l’ouvris : dehors, la lune en forme de D, entourée d’un halo jaune tirant sur le vert à cause du ciel bleu nuit était là, resplendissante sur la voûte formée par les étoiles. La nuit me faisait penser à un rideau, taché de points de lumières, je respirai profondément et retrouvai un peu l’odeur de chez moi, la nuit à toujours une odeur de nuit. Encore faut-il croire que la nuit a un parfum. En regardant attentivement le ciel, j’eus soudain l’impression étrange qu’on me lançait un appel au secours, ce fut bref et je crus à un tour de mon imagination. Je refermai la fenêtre et m’allongeai.
Comment était-ce là haut ? Et c’est sur cette interrogation que je m’endormis, pour rêver des étoiles et des planètes qui peuplaient le ciel.
(Fin du chapitre 1)
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