Cher Marc,
Les mots qui ont été dit dans ma dernière lettre ont été écrit alors que j’étais déjà contaminée par une maladie nommée la Bemanticus. Elle rend méchant, tous les Zywakiens ont le germe de cette maladie à la naissance mais elle se déclenche seulement lors d’émotions fortes (dans mon cas c’est le séjour sur Terre). J’espère que cette lettre te fera comprendre pourquoi j’ai raconté toutes ces bêtises : je ne suis pas responsable, c’est la maladie. Si je n’ai pas pu t’écrire avant, c’est que la maladie a obligé mes parents à me mettre dans un centre de soins dont je ne suis sortie qu’au bout d’une semaine. Il faut qu’on trouve un moyen pour prévenir l’autre quand on est malade, de façon à ce que l’autre ne se demande pas ce qui se passe. Tu es toujours d’accord pour m’écrire, n’est-ce pas ? J’espère que tu ne t’es pas fait de soucis et que tu n’as pas cru qu’on avait découvert notre correspondance et que c’est pour ça que je ne répondais plus. Je te pardonne pour ta lettre vu que c’est moi qui avais ouvert les hostilités, Alors s’il te plaît, excuse la mienne.
Ton amie Animia
En reposant la lettre, je me suis dit que je n’avais pas de raison de lui réécrire et puis quoi encore ! Cette histoire de maladie ne tenait pas debout, de plus cette correspondance ne m’attirerait que des problèmes.
Soudain, la tête me tourna, je voulus me rallonger, mais je retrouvai assis sur le plancher, je ne pouvais me relever : mes forces m’avaient abandonné. Je ne comprenais plus, il y a peine quelques heures, j’étais en pleine forme et voilà que tout à coup je me sentais tout faible. Cet état me déplaisait au plus haut point, je me mis en colère contre tout : Animia, la directrice, l’infirmière, le docteur, la chambre, le robot et surtout contre cette fichue maladie !
Je réfléchis, cette maladie était bien étrange, la directrice avait parut ennuyée de m’en parler ; et si c’était une maladie de Zywak, alors pourquoi la directrice n’avait-elle prévenu personne sur l’étrangeté de cette maladie et pourquoi le docteur n’avait-il rien remarqué ? Peut-être que le docteur avait assimilé ma maladie à une maladie terrienne, et la directrice même si elle n’y croyait pas, faisait semblant car elle désirait sûrement ne pas entacher la réputation de son lycée. Oui, j’avais certainement raison, je mis à pester. Tout ça, c’est à cause de l’échange entre Zywak et la Terre !
Je fus soudainement submergé par une vague de terreur, et si je restais aphone toute ma vie, que je ne pusse plus jamais parler, et si je restais faible ? Pour apaiser mes craintes, je pensai au proverbe que mon père affectionnait : « Avec des si, on serait millionnaire. »
Les mots qui ont été dit dans ma dernière lettre ont été écrit alors que j’étais déjà contaminée par une maladie nommée la Bemanticus. Elle rend méchant, tous les Zywakiens ont le germe de cette maladie à la naissance mais elle se déclenche seulement lors d’émotions fortes (dans mon cas c’est le séjour sur Terre). J’espère que cette lettre te fera comprendre pourquoi j’ai raconté toutes ces bêtises : je ne suis pas responsable, c’est la maladie. Si je n’ai pas pu t’écrire avant, c’est que la maladie a obligé mes parents à me mettre dans un centre de soins dont je ne suis sortie qu’au bout d’une semaine. Il faut qu’on trouve un moyen pour prévenir l’autre quand on est malade, de façon à ce que l’autre ne se demande pas ce qui se passe. Tu es toujours d’accord pour m’écrire, n’est-ce pas ? J’espère que tu ne t’es pas fait de soucis et que tu n’as pas cru qu’on avait découvert notre correspondance et que c’est pour ça que je ne répondais plus. Je te pardonne pour ta lettre vu que c’est moi qui avais ouvert les hostilités, Alors s’il te plaît, excuse la mienne.
Ton amie Animia
En reposant la lettre, je me suis dit que je n’avais pas de raison de lui réécrire et puis quoi encore ! Cette histoire de maladie ne tenait pas debout, de plus cette correspondance ne m’attirerait que des problèmes.
Soudain, la tête me tourna, je voulus me rallonger, mais je retrouvai assis sur le plancher, je ne pouvais me relever : mes forces m’avaient abandonné. Je ne comprenais plus, il y a peine quelques heures, j’étais en pleine forme et voilà que tout à coup je me sentais tout faible. Cet état me déplaisait au plus haut point, je me mis en colère contre tout : Animia, la directrice, l’infirmière, le docteur, la chambre, le robot et surtout contre cette fichue maladie !
Je réfléchis, cette maladie était bien étrange, la directrice avait parut ennuyée de m’en parler ; et si c’était une maladie de Zywak, alors pourquoi la directrice n’avait-elle prévenu personne sur l’étrangeté de cette maladie et pourquoi le docteur n’avait-il rien remarqué ? Peut-être que le docteur avait assimilé ma maladie à une maladie terrienne, et la directrice même si elle n’y croyait pas, faisait semblant car elle désirait sûrement ne pas entacher la réputation de son lycée. Oui, j’avais certainement raison, je mis à pester. Tout ça, c’est à cause de l’échange entre Zywak et la Terre !
Je fus soudainement submergé par une vague de terreur, et si je restais aphone toute ma vie, que je ne pusse plus jamais parler, et si je restais faible ? Pour apaiser mes craintes, je pensai au proverbe que mon père affectionnait : « Avec des si, on serait millionnaire. »
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