Faire user ses 5 sens aux lecteurs est une chose importante dans un texte et c'est pourquoi nous avons successivement donné un exemple de description basé sur la vue avec la description d'un tableau, sur le goût avec la description de la dégustation d'un pain au chocolat, sur le toucher avec une description fondée sur ce sens et sur l'ouïe avec la description de bruits de travaux.
Nous arrivons à présent à l'odorat, le dernier des sens laissé de côté. Avec l'odorat, il faut s'appuyer pas mal sur la vue pour parvenir à éveiller le nez du lecteur. En cas de description d'une odeur d'aliment, décrire un minimum le goût est également requis.
Arôme, effluve, émanation, exhalaison, fumet, fragrance, parfum, puanteur, relent, remugle, senteur... Que ce soit une bonne ou une mauvaise odeur, le travail est le même !
Exemple : Morceau de pain
N'est-elle pas divine l'odeur du pain frais qu'on vient tout juste d'acheter chez le boulanger ? On ne peut s'empêcher d'approcher le nez du croûton doré et d'humer le délicieux parfum qui s'en dégage. On a la narine qui frétille et on goûte par avance à la mie moelleuse et à la croûte craquante. Finalement, on ne résiste plus, on s'empare d'un morceau et l'odeur du pain se fait un peu plus forte. Elle est encore plus enivrante et on inspire à fond, se remplissant si bien les poumons qu'on a le sentiment qu'on pourrait se contenter de sentir le pain plutôt que de le manger.
Nous arrivons à présent à l'odorat, le dernier des sens laissé de côté. Avec l'odorat, il faut s'appuyer pas mal sur la vue pour parvenir à éveiller le nez du lecteur. En cas de description d'une odeur d'aliment, décrire un minimum le goût est également requis.
Arôme, effluve, émanation, exhalaison, fumet, fragrance, parfum, puanteur, relent, remugle, senteur... Que ce soit une bonne ou une mauvaise odeur, le travail est le même !
Exemple : Morceau de pain
N'est-elle pas divine l'odeur du pain frais qu'on vient tout juste d'acheter chez le boulanger ? On ne peut s'empêcher d'approcher le nez du croûton doré et d'humer le délicieux parfum qui s'en dégage. On a la narine qui frétille et on goûte par avance à la mie moelleuse et à la croûte craquante. Finalement, on ne résiste plus, on s'empare d'un morceau et l'odeur du pain se fait un peu plus forte. Elle est encore plus enivrante et on inspire à fond, se remplissant si bien les poumons qu'on a le sentiment qu'on pourrait se contenter de sentir le pain plutôt que de le manger.
4 commentaires:
Eh ... mais et le sixième sens ?
Attention, ta transformation d'odeur ou de fragrance par parfum t'a donné un joli "le délicieuse parfum".
Cela donne quelque air provençal à ce pain, mais je crois pas que ce soit ta volonté ! ;-)
Hum ça sent bon...le printemps!
Merci Yannick. J'ai rectifié l'erreur ! :)
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