Une ombre embrassait une silhouette,
Sur un mur, toutes deux se découpaient.
Un baiser, voilà ce que tu souhaites ?
Tends la joue, mes lèvres j'y poserai.
Et l'autre, l'autre joue est très jalouse ?
A présent, c'est ta bouche qui soupire...
Alors, c'est vrai, tu veux que je t'épouse ?
C'est mon doux rêve, mon plus cher désir.
Une ombre et une silhouette s'aimaient,
Et la nuit tombait, les plongeant dans l'ombre,
Sur le mur, toutes deux se confondaient :
Une silhouette embrassait une ombre.
2 commentaires:
tendre soir et charmante jalousie!
Ha les soupirs amoureux...
J'aime beaucoup la dernière strophe
- Ils ont même fait un pont à Venise ;))))
- Très jolies ces ombres
- le dessin un peut moins, quel nez! c'est presque du cyrano.
Enregistrer un commentaire