mardi 3 février 2009

Le bonheur est dans la fiole


A l’aube du 4ème millénaire, la planète Terre ressemble à un oursin, animal marin qui vivait dans une mer aujourd’hui disparue. Plus des trois quart de la surface de la planète est recouverte par des tours semblables à des arbres géants. Leurs cimes touchent les nuages et leurs racines descendent jusqu’au centre de la terre. Ces tours comportent chacune quelque chose comme un millier d’étages : chacune d’elle est une véritable ville.
Seulement, les habitants ne peuvent pas changer de Tour facilement, chacun a sa place et sa position. Ainsi, Henrik n'a jamais pu rencontrer sa soeur née dans une Tour voisine, car ses parents y avaient été appelés pour sauver des aigles... et étaient devenus les Protecteurs des Aigles de cette Tour-là. Henrik, qui avait dix ans à l'époque, n'a pas eu l'autorisation de les rejoindre.
L'aspect prison des Tours où il faut payer pour aller voir le ciel étoilé et où les déplacements sont limités, pèse beaucoup à Henrik. Bien qu'il soit Protecteur des loups et assistant du docteur Schmidy, il est insatisfait de sa situation. Aussi, quand une expérience du docteur tourne mal, c'est sans déplaisir qu'il se retrouve propulsé dans un autre monde où les fioles ont un rôle considérable.
Tout peut se créer et se trouver dans ses fioles. Des jeunes femmes, des sandwichs et même des cieux étoilés... Le bonheur serait-il dans la fiole ou bien se trouve-t-il en fait dans la Tour ?

4 commentaires:

Unknown a dit…

la suite, la suite!

Anonyme a dit…

Mais que le cric me croque et me patafiole....

Un millier soit 3,5m X1000 = 3Km 500
pas mal du tout!

Anonyme a dit…

As-tu lu "les monades urbaines"?
The World inside est un roman d'anticipation écrit par Robert Silverberg

Cécile a dit…

Non, je ne l'ai pas lu. Et le trouver pour le lire risque d'être difficile puisqu'il a l'air d'être indisponible à la vente aussi bien en français qu'en anglais...