– Il avance plus vite qu'un incendie normal, constata Yvi.
– Il faut partir d'ici au plus vite, déclara Vérité.
– Pas possible ! Les flammes nous entourent déjà, annonça Kinglion.
– On a eu notre instant de tranquillité au moins, c'est déjà ça, dit la sorcière après un petit rire sans joie.
– Cela fait plus joyeux avec les flammes. Oui, le paysage prend un petit air de fête, plaisanta Libellule. En fait, si le mal a fait cela, c'est sûrement parce qu'il a trouvé que la conversation s'éternisait un peu trop, ajouta-t-il.
– Mais, ne cesses-tu donc jamais de plaisanter ? demanda Nyssa au lutin.
– Si, parfois... rarement. Je me souviens pas de la dernière fois que j'ai arrêté, répondit Libellule.
– Qu'est-ce qu'on fait pour se sortir de là ? interrogea Louve.
– Quelque chose comme ça, répondit Ornella en faisait un geste vers le ciel.
Une pluie violente éclata, mais n'éteignit pas le feu.
– Je vois, on fait ça et l'on obtient... rien, ironisa Louve.
– Je ne comprends pas, cela aurait dû marcher, maugréa Ornella.
– Le mal ne fait pas les choses simplement, dit calmementYvi.
– Ce feu sent la magie à plein nez. Il doit être protégé par un charme magique, annonça Vérité, sensible aux effluves magiques.
– Alors il faut utiliser cette formule : Kalips encantas miseras es, detirata... j'ai oublié la suite, dit la sorcière.
– Les flammes commencent à nous mijoter aux petit oignons, murmura Piscis.
– Allez Ornella, fais travailler ta matière grise ! Cette maudite formule est quelque part dans ta tête ! s'exclama Vérité en serrant dans ses bras la sorcière.
– Je ne veux pas mourir brûlée, gémit Nyssa.
– Tu ne risques rien, Spiloys, ne peux-tu pas faire quelque chose ? demanda Kinglion.
– Je vais voir où est-ce que les flammes s'arrêtent, répondit Spiolys en traversant les flammes.
– Les gens qui oublient, quelles catastrophes ! s'exclama le lutin.
– La dernière fois un coup sur la tête lui avait rendu la mémoire... rappela le chevalier.
– Tu ne frapperas pas Ornella ! aboya Vérité.
– Il n'y a pas de solutions rationnelles, soupira Yvi qui avait réfléchi.
– Dis l'oracle, les astres ne t'ont-ils pas soufflé une solution ? demanda Piscis.
– Les astres n'aident pas. Je cherche dans la mémoire collective des oracles, mais pour le moment, je ne trouve rien, répondit Pierrot.
– Et moi qui croyais que j'avais affaire à des héros professionnels, ironisa Louve.
– Ce n'est pas le moment de faire de l'esprit, grogna le chevalier.
– Quelle fournaise ! s'exclama Kinglion.
– Je crève de chaleur, enchérit Piscis.
– Vérité, Si tu savais comment je m'en veux ! Je ne retrouve pas la suite. Quelle pitoyable mémoire ai-je ! murmura Ornella à l'oreille du troll.
– Ce n'est pas ta faute, ne t'en fais pas, nous allons sûrement nous en sortir quand même, chuchota Vérité, puis il embrassa la sorcière passionnément
– Vérité ! Ce n'est pas le moment. Et puis, les autres étaient là, protesta Ornella dès qu'elle put parler.
– Je le fais avant de brûler littéralement d'amour pour toi, répliqua le troll en souriant.
– Ah ! Je m'en souviens maintenant ! Kalips encantas miseras es, detira encantas et nuvaliable. Kalips terra et kial pluvia tombere, hurla la sorcière les mains tournées vers le ciel.
Cette fois-ci les flammes s'éteignirent au grand soulagement de nos amis.
– J'attendais avec impatience le moment de pause, déclara le lutin en riant de contentement.
– Retour au calme, ce n'était pas trop tôt, ajouta le chevalier.
– Embrasse-moi Vérité ! Je suis heureuse, heureuse...je l'ai retrouvée ! s'exclama Ornella.
– Ornella ! Ce n'est pas le moment et puis les autres vont nous voir, répliqua Vérité malicieusement.
– Hum hum, dit Ornella en souriant.
– Il faut partir d'ici au plus vite, déclara Vérité.
– Pas possible ! Les flammes nous entourent déjà, annonça Kinglion.
– On a eu notre instant de tranquillité au moins, c'est déjà ça, dit la sorcière après un petit rire sans joie.
– Cela fait plus joyeux avec les flammes. Oui, le paysage prend un petit air de fête, plaisanta Libellule. En fait, si le mal a fait cela, c'est sûrement parce qu'il a trouvé que la conversation s'éternisait un peu trop, ajouta-t-il.
– Mais, ne cesses-tu donc jamais de plaisanter ? demanda Nyssa au lutin.
– Si, parfois... rarement. Je me souviens pas de la dernière fois que j'ai arrêté, répondit Libellule.
– Qu'est-ce qu'on fait pour se sortir de là ? interrogea Louve.
– Quelque chose comme ça, répondit Ornella en faisait un geste vers le ciel.
Une pluie violente éclata, mais n'éteignit pas le feu.
– Je vois, on fait ça et l'on obtient... rien, ironisa Louve.
– Je ne comprends pas, cela aurait dû marcher, maugréa Ornella.
– Le mal ne fait pas les choses simplement, dit calmementYvi.
– Ce feu sent la magie à plein nez. Il doit être protégé par un charme magique, annonça Vérité, sensible aux effluves magiques.
– Alors il faut utiliser cette formule : Kalips encantas miseras es, detirata... j'ai oublié la suite, dit la sorcière.
– Les flammes commencent à nous mijoter aux petit oignons, murmura Piscis.
– Allez Ornella, fais travailler ta matière grise ! Cette maudite formule est quelque part dans ta tête ! s'exclama Vérité en serrant dans ses bras la sorcière.
– Je ne veux pas mourir brûlée, gémit Nyssa.
– Tu ne risques rien, Spiloys, ne peux-tu pas faire quelque chose ? demanda Kinglion.
– Je vais voir où est-ce que les flammes s'arrêtent, répondit Spiolys en traversant les flammes.
– Les gens qui oublient, quelles catastrophes ! s'exclama le lutin.
– La dernière fois un coup sur la tête lui avait rendu la mémoire... rappela le chevalier.
– Tu ne frapperas pas Ornella ! aboya Vérité.
– Il n'y a pas de solutions rationnelles, soupira Yvi qui avait réfléchi.
– Dis l'oracle, les astres ne t'ont-ils pas soufflé une solution ? demanda Piscis.
– Les astres n'aident pas. Je cherche dans la mémoire collective des oracles, mais pour le moment, je ne trouve rien, répondit Pierrot.
– Et moi qui croyais que j'avais affaire à des héros professionnels, ironisa Louve.
– Ce n'est pas le moment de faire de l'esprit, grogna le chevalier.
– Quelle fournaise ! s'exclama Kinglion.
– Je crève de chaleur, enchérit Piscis.
– Vérité, Si tu savais comment je m'en veux ! Je ne retrouve pas la suite. Quelle pitoyable mémoire ai-je ! murmura Ornella à l'oreille du troll.
– Ce n'est pas ta faute, ne t'en fais pas, nous allons sûrement nous en sortir quand même, chuchota Vérité, puis il embrassa la sorcière passionnément
– Vérité ! Ce n'est pas le moment. Et puis, les autres étaient là, protesta Ornella dès qu'elle put parler.
– Je le fais avant de brûler littéralement d'amour pour toi, répliqua le troll en souriant.
– Ah ! Je m'en souviens maintenant ! Kalips encantas miseras es, detira encantas et nuvaliable. Kalips terra et kial pluvia tombere, hurla la sorcière les mains tournées vers le ciel.
Cette fois-ci les flammes s'éteignirent au grand soulagement de nos amis.
– J'attendais avec impatience le moment de pause, déclara le lutin en riant de contentement.
– Retour au calme, ce n'était pas trop tôt, ajouta le chevalier.
– Embrasse-moi Vérité ! Je suis heureuse, heureuse...je l'ai retrouvée ! s'exclama Ornella.
– Ornella ! Ce n'est pas le moment et puis les autres vont nous voir, répliqua Vérité malicieusement.
– Hum hum, dit Ornella en souriant.
(Fin du chapitre 5 )
1 commentaire:
on pourrait intituler ce chapitre: Une passion brûlante...
ou: Un baiser qui réveille.... la mémoire.
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