vendredi 28 novembre 2008
Attente
Lentes les heures qui roulent
Sur la pente du temps,
Puis se transforment en vent.
Oui, long le temps qui s'écoule.
J'attends. Les minutes se meurent,
Le sable tombe sans heurt,
L'ombre doucement croit,
Et dans l'ennui, je me noie.
Cécile
1 commentaire:
Anonyme a dit…
attente
combien fervente
le poids des heures
le poids du cœur
douleur infante
28 novembre 2008 à 13:05
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le poids du cœur
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