Pendant ce temps, le chevalier et l'oracle s'approchèrent du cadavre du dragon, curieux de savoir ce qui avait provoqué sa mort soudaine. Ils remarquèrent presque immédiatement le trou béant qu'il avait à la poitrine. Ils se demandaient ce qui avait pu faire ça quand ils virent une forme blanche sortir du trou. C'était Spiolys.
– C'est toi qui... ? demanda le chevalier interloqué.
– Je suis passée au travers du dragon et... Kinglion, ça va ? répondit Spiolys en rejoignant le fauve dont le pelage était ensanglanté.
– Pas terriblement bien, murmura le lion.
– Nyssa, est-ce que tu vas bientôt le soigner ? s'inquiéta Spiolys.
– Eh ! Je n'ai pas six mains, je termine Piscis, ensuite je m'occupe de Vérité et promis, je soigne Kinglion. Puis je guérirai les autres parce que nous avons tous été touchés.
– Ces gens amoureux, quel poison ! s'exclama le lutin encore une fois.
– On en reparlera vermisseau quand ce sera ton tour... contra la sorcière.
– Je peux bien rire tout de même. Nul ne comprend mes plaisanteries, je suis un incompris, pleurnicha le lutin avec le sourire aux lèvres.
– Ce n'est pas un peu fini ces chamailleries ! cria le chevalier.
– Rabat joie, ronchonna Libellule.
– Au lieu de vous disputer, demandez plutôt à Spiolys comment elle a fait pour tuer le dragon, dit calmement le chevalier.
– Spiolys... le dragon ...tuer ?! murmura bêtement Ornella.
– Comment as-tu fait alors ? demanda l'oracle à Spiolys qui examinait avec inquiétude les blessures du lion.
– Hein ? demanda Spiolys.
– Je te demande comment tu as réussi à tuer le dragon, répéta l'oracle.
– Oh ! Je suis entrée dedans, et là je me suis matérialisée comme tout à l'heure dans l'auberge. C'est tout.
– Elle nous tue un dragon en trente secondes, et elle dit « c'est tout ». Pfft ! grommela Libellule.
– Qui veut se faire soigner ? J'en ai fini avec les grands blessés, annonça l'elfette.
– Je veux bien moi, répondit l'oracle qui avait été durement piqué et griffé par les épines du buisson.
En peu de temps, tous les blessés passèrent entre les mains guérisseuses de Nyssa.
– Alors, est-ce que nous repartons en direction de l'est ? demanda le chevalier.
– Il faut bien accomplir notre mission, répondit Piscis.
– Est-ce que vous avez remarqué que chaque fois que tout est tranquille et que tout va bien, un ennui nous tombe dessus ? interrogea Vérité.
– Non, je ne m'en suis pas rendu compte, affirma le chevalier.
– Pourtant, c'est vrai qu'à chaque fois que nous faisons la pause, le mal vient nous attaquer, dit Yvi.
– Cela fait un mouvement de balancier, remarqua Nyssa.
– Les griffons, rien, les cauchemars, rien, le labyrinthe, rien, le dragon et les ombres, rien, constata Kinglion.
– Il vous est déjà arrivé tout cela ? s'étonna Spiolys.
– C'est vrai que tu n'étais pas avec nous au début, se rappela Ornella tout haut.
– Au fait, quand est-ce que nous allons trouver les deux autres élus ? demanda Vérité.
– Je ne sais pas, la prophétie ne dit rien à ce sujet. A mon avis, ils vont nous tomber dessus, répondit l'oracle.
– Comment ça nous tomber dessus ? questionna le chevalier
– Tu sais bien, cette expression qui veut dire que les gens arrivent soudainement, expliqua le petit oracle tout en pensant que le chevalier était un imbécile.
– Ne trouvez-vous pas que tout est trop calme tout à coup ? demanda Vérité.
– Si tu veux dire par là que nous allons bientôt avoir des ennuis, tu n'as sûrement pas tord, mais pas la peine de le faire remarquer, les ennuis arriveront de toute façon, intervint Libellule.
– Mais qu'est-ce qui va nous arriver ? balbutia Nyssa avec angoisse.
– Peut-être qu'une colonie de serpents venimeux va sortir de la terre ou descendre des airs, suggéra le chevalier.
– Veux-tu bien te taire ! Tu vas donner des bonnes idées au mal, au cas où il en manquerait ! protesta Libellule.
– Mais non, il ne faut pas s'inquiéter, il ne peut pas s'occuper de nous en permanence, rétorqua Piscis.
– Non, vraiment ? Alors pourquoi y a-t-il des serpents qui volent au-dessus de nous ? questionna Vérité.
– C'est toi qui... ? demanda le chevalier interloqué.
– Je suis passée au travers du dragon et... Kinglion, ça va ? répondit Spiolys en rejoignant le fauve dont le pelage était ensanglanté.
– Pas terriblement bien, murmura le lion.
– Nyssa, est-ce que tu vas bientôt le soigner ? s'inquiéta Spiolys.
– Eh ! Je n'ai pas six mains, je termine Piscis, ensuite je m'occupe de Vérité et promis, je soigne Kinglion. Puis je guérirai les autres parce que nous avons tous été touchés.
– Ces gens amoureux, quel poison ! s'exclama le lutin encore une fois.
– On en reparlera vermisseau quand ce sera ton tour... contra la sorcière.
– Je peux bien rire tout de même. Nul ne comprend mes plaisanteries, je suis un incompris, pleurnicha le lutin avec le sourire aux lèvres.
– Ce n'est pas un peu fini ces chamailleries ! cria le chevalier.
– Rabat joie, ronchonna Libellule.
– Au lieu de vous disputer, demandez plutôt à Spiolys comment elle a fait pour tuer le dragon, dit calmement le chevalier.
– Spiolys... le dragon ...tuer ?! murmura bêtement Ornella.
– Comment as-tu fait alors ? demanda l'oracle à Spiolys qui examinait avec inquiétude les blessures du lion.
– Hein ? demanda Spiolys.
– Je te demande comment tu as réussi à tuer le dragon, répéta l'oracle.
– Oh ! Je suis entrée dedans, et là je me suis matérialisée comme tout à l'heure dans l'auberge. C'est tout.
– Elle nous tue un dragon en trente secondes, et elle dit « c'est tout ». Pfft ! grommela Libellule.
– Qui veut se faire soigner ? J'en ai fini avec les grands blessés, annonça l'elfette.
– Je veux bien moi, répondit l'oracle qui avait été durement piqué et griffé par les épines du buisson.
En peu de temps, tous les blessés passèrent entre les mains guérisseuses de Nyssa.
– Alors, est-ce que nous repartons en direction de l'est ? demanda le chevalier.
– Il faut bien accomplir notre mission, répondit Piscis.
– Est-ce que vous avez remarqué que chaque fois que tout est tranquille et que tout va bien, un ennui nous tombe dessus ? interrogea Vérité.
– Non, je ne m'en suis pas rendu compte, affirma le chevalier.
– Pourtant, c'est vrai qu'à chaque fois que nous faisons la pause, le mal vient nous attaquer, dit Yvi.
– Cela fait un mouvement de balancier, remarqua Nyssa.
– Les griffons, rien, les cauchemars, rien, le labyrinthe, rien, le dragon et les ombres, rien, constata Kinglion.
– Il vous est déjà arrivé tout cela ? s'étonna Spiolys.
– C'est vrai que tu n'étais pas avec nous au début, se rappela Ornella tout haut.
– Au fait, quand est-ce que nous allons trouver les deux autres élus ? demanda Vérité.
– Je ne sais pas, la prophétie ne dit rien à ce sujet. A mon avis, ils vont nous tomber dessus, répondit l'oracle.
– Comment ça nous tomber dessus ? questionna le chevalier
– Tu sais bien, cette expression qui veut dire que les gens arrivent soudainement, expliqua le petit oracle tout en pensant que le chevalier était un imbécile.
– Ne trouvez-vous pas que tout est trop calme tout à coup ? demanda Vérité.
– Si tu veux dire par là que nous allons bientôt avoir des ennuis, tu n'as sûrement pas tord, mais pas la peine de le faire remarquer, les ennuis arriveront de toute façon, intervint Libellule.
– Mais qu'est-ce qui va nous arriver ? balbutia Nyssa avec angoisse.
– Peut-être qu'une colonie de serpents venimeux va sortir de la terre ou descendre des airs, suggéra le chevalier.
– Veux-tu bien te taire ! Tu vas donner des bonnes idées au mal, au cas où il en manquerait ! protesta Libellule.
– Mais non, il ne faut pas s'inquiéter, il ne peut pas s'occuper de nous en permanence, rétorqua Piscis.
– Non, vraiment ? Alors pourquoi y a-t-il des serpents qui volent au-dessus de nous ? questionna Vérité.
2 commentaires:
pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes....
allez, c'est reparti!
Elle nous tue un dragon en trente secondes, et elle dit « c'est tout »
Ben oui quoi, 30 sec, c'est rien!
Enregistrer un commentaire